Chez nous, les enterrements donnent lieu à de joyeuses agapes avant, après et même pendant, ceci malgré le clergé qui n’apprécie guère.
J’ai voulu passer outre les contraintes, les interdits et m’amuser avec et autour de la mort, qu’il nous faudra bien accepter un jour, même si ça ne nous enchante pas.
Cependant, parler de la mort est surtout, pour moi, un prétexte à glorifier la vie…
Prenez donc ces nouvelles comme un hymne de la gloire à l’existence. Je n’ai pas cherché à vous choquer, même si certains risquent de l’être. Ces histoires sont bien de chez nous, elles sont truculentes mais pas méchantes, parfois irrespectueuses… mais qu’importe !
Quelques grincheux, bien pensants et autres coincés de la braguette ou de la morale ne vont pas m’en empêcher de ne pas me prendre trop au sérieux et de rire des choses graves pour mieux apprécier la vie.
Il n’y a de vrai que LA VIE et comme on n’en a qu’une, autant en profiter, la vivre pleinement et la plus joyeusement possible.
J’ose espérer que vous ne retiendrez de ces contes que la bonne humeur, un peu de mélancolie et surtout la joie de vivre. Même s’il y a par-ci, par-là, un peu de cynisme, ça n’est jamais que pour faire apprécier la vie.
Mon vœu…
« Que vous vous amusiez à lire ces nouvelles
autant que je me suis amusé à les écrire… »